Ils s’inspirent de la légende de Daïdarabotchi, créature mystique géante tout droit sortie de la mythologie japonaise, si grande que ses mouvements façonnent le monde… En plantant le décor du voyage épique dans lequel ils nous emportent, un voyage aux multiples destins et aux innombrables chemins, les DAÏDA ont imaginé une trilogie, ouverte avec La Passion Du Cri (Kyrielle), premier album où s’expriment sentiments exacerbés et paroxysmiques, au gré des « Cris » des différentes « Passion(s) » qui jalonnent cette « Kyrielle » d’histoires, révoltées et tourmentées, oniriques et nostalgiques, à l’image d’une grande épopée. Portée par cette énergie, la musique de DAÏDA prend sa source dans les rythmiques effrénées qui flirtent avec la transe des musiques techno, se mélange aux thèmes et harmonies lyriques, au gré des envolées des solistes. Épique, la formation emmenée par Vincent Tortiller distille un jazz électrique et progressif tel qu’il s’invente et se joue aujourd’hui : un nouveau jazz français, moderne et vivant, qui emprunte aux musiques actuelles leur énergie et leur efficacité.